Présentation de l’association ARC ESPOIR

Définition

L’Association pour la Re-Connaissance, l’Etude et la Sauvegarde du Patrimoine Oral et ImmatéRiel dénommée ARC ESPOIR, a été crée en France et déclarée en septembre 2007 à la préfecture de Paris par le L’Emérite du siècle. Angeline Yégnan (alors doctorante en ethnomusicologie) et Florence Delaittre (alors employée dans une structure associative).

Fondée en 2007 sous la loi 1901 relative aux droits des associations françaises, ARC ESPOIR est une association à vocation internationale domiciliée en France. Des représentations de l’association seront créées dans plusieurs pays du monde, selon les besoins qui nous seront exprimés et les ressources humaines disponibles dans les pays commanditaires.

La création d’ARC ESPOIR
ARC ESPOIR fut certes l’idée du Dr. Angeline YEGNAN devenue l’Emérite en 2019, mais elle fut soutenue dans cette idée par la SECTION Culture de l’UNESCO Paris avec le Dr. Curtis, le conseil Exécutif avec L’Honoraire YAI, la Section Education avec Marie F. Desprin, la section Information et  communication avec NINO Mugnos, et la section science sociale   avec le Dr. Pierre SANE, dans les années 2002 à 2007 voir au-delà.

ARC ESPOIR veut connaitre, faire connaitre puis reconnaitre, étudier et sauvegarder avec la complicité des communautés détentrices, les ARTS et Cultures du monde, appelées autrement « patrimoine culturel immatériel », par l’UNESCO.

Les perspectives d’ARC ESPOIR
ARC ESPOIR est une association internationale qui a pour ambition d’obtenir le label d’association d’utilité publique.

Avec son siège en France, elle envisage des représentations et des partenariats avec les différents organismes nationaux et internationaux du monde. Elle se veut pluridisciplinaire et ouverte à des adhérents et donateurs de toute nationalité, de tout âge et de sexe masculin ou féminin.
Car, la pratique des arts et des cultures du monde, est inhérente à tous les êtres humains. C’est d’ailleurs l’un des savoir-faire et être, devenu d’un point de vu académique les sciences humaines et sociales, que l’HOMME sait faire le mieux ; c’est ce qu’il maitrise le mieux et apprend le plus vite possible, selon le milieux dans lequel il évolue. Ce savoir-faire ou être, peut donc être transformé et reconnu comme métier à rémunérer pour le bien être des communautés détentrices de savoirs et celles  des scientifiques, expertes et talentueuses personnes qui l’encadrent par l’intermédiaire d’ARC ESPOIR.

Ce qui a motivé la création d’ARC ESPOIR

A la suite du concours « Proclamation des chefs-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité » lancé dans sa première édition, sous le mandat de l’ancien Directeur Général de l’Unesco M. Koichiro Maatsura en 2001, l’association ARC ESPOIR a vu le jour sous la houlette de l’Emérite et Dr. Angeline Yégnan -alors doctorante- pendant ces études en Europe.

L’idée de créer ARC ESPOIR a surgi de l’esprit du Dr Angeline Yégnan, car elle avait, à la suite de ses premiers travaux de recherches scientifiques sur le Gbofé d’Afounkaha, musique de trompes traversières de la communauté tagbana de Côte d’Ivoire, permis l’inscription de cette forme d’expression culturelle au « patrimoine oral et immatériel de l’humanité par l’Unesco », le 18 mai 2001.
Venue en France en 2002 pour une spécialisation en ethnomusicologie, en échangeant avec ces camarades de l’université Paris Ouest Nanterre, puis Paris 4 Sorbonne, elle s’est aperçue du désir de plusieurs étudiants, chercheurs, personnes douées, talentueuses et amoureuses des arts et des cultures du monde, de mener un tel travail, avec à la clé un aboutissement aussi valorisant et hautement reconnu dans le monde scientifique. Car ceux et celles qui  composait le jury international de l’Unesco, étaient, pour la première édition du concours en 2001, des rois, des princes et princesses, des sommités, des savants, des érudits, d’éminents chercheurs dans leur domaine de compétences scientifiques. Autrement dit, lorsque vos travaux arrivaient devant ce jury  là, qui ne vous connaît pas et qui ne vous entendra pas défendre votre dossier -qui  de ce fait sera donc exempt de toute forme de subjectivité et de complaisance- si vos travaux sont acceptés, alors même que vous avez travaillé pratiquement seul comme ce fut son cas à l’époque, vous entrez  de fait dans la cour des grands, des éminents chercheurs et dans le cercle restreint des sommités scientifiques…  Ce fut son cas. Mais, elle n’en avait pas conscience quand elle arrivait en France pour ces études en ethnomusicologie ! …

Aussi, lorsqu’elle constata que beaucoup ne savaient pas comment s’y prendre ou ont dû s’arrêter en cours de chemin pour plusieurs raisons, elle a décidé de créer ARC ESPOIR affiliée à l’UNESCO et aux organisations des nations unies …

C’est donc dans un souci de partager son expérience avec toutes ces personnes, et une reconnaissance à toutes les personnes de diverses nationalités qui l’ont soutenu pendant l’entreprise de ses études universitaires, puis  ces recherches doctorales dans plusieurs capitales d’européenne, qu’elle a décidé en 2004, aidée administrativement par une amie,  Florence Delaittre, de créer l’Association pour la Re-Connaissance, l’Etude et la Sauvegarde du Patrimoine Oral et ImmatéRiel  : ARC ESPOIR. Sa création et son existence sont publiées au Journal officiel français en septembre 2007. (JO 139e année -N° 39 du 29 septembre 2007).